
Troublant le personnage de Tano qui aborde des personnages souvent déjantés comme l’esthéticienne ou le Corse. Tano avoue aimer être « en limite » et c’est parfois le cas… Sa parodie sur les policiers de la BAC prenant la place de jeunes dans une improvisation de rap est un grand moment. Aucunement engagé en politique, il dénonce les incohérences de la vie, ses méfaits, ses absurdités.